Préparer la théorie de son Galop 7

Préparer la théorie de son Galop 7

En pleine révision de la théorie de Galop à valider ?
 Voici le dernier articles d'une série de 7 pour vous accompagner dans les révisions de la théorie des galops.

Chaque Galop comprend plusieurs compétences à valider afin de confirmer le diplôme. On distingue les catégories suivantes :

  • La pratique équestre ;
  • S’occuper du cheval ;
  • Connaissances générales - autrement dit la théorie, partie qui nous intéresse dans cette série d'articles*.

Nous allons étudier ensemble les principaux points du programme du Galop 7. Découvrons les 11 thèmes. 

1. Identifier un cheval 

Les chevaux sont identifiés. Leurs propriétaires possèdent des papiers regroupés sous le nom de document d'accompagnement. Chaque année, la couleur du livret change. Par exemple, pour un équidé né en 2007 le livret est blanc.
De plus, une lettre de référence est également attribuée. Cette lettre doit être l'initiale du nom donné à l'équidé né cette année-là.
Les outils pour identifier un cheval sont regroupés dans le document d'accompagnement. Il y a le numéro SIRE, le livret signalétique et la carte d'immatriculation. *

2. Lire un livret et vérifier le signalement d'un cheval 

Le livret signalétique est la carte d'identité du cheval. La couverture de ce livret indique le numéro SIRE, le nom du cheval, sa race, sa robe, son sexe et le code barre de la puce (obligatoire depuis le 1er janvier 2008).
Dans ce livret on retrouve également la généalogie du cheval. Par exemple, le nom du père et de la mère, leur date et lieu de naissance mais également la validation du certificat d'origine. De plus, les généalogies du père et de la mère y figurent aussi.
Le signalement désigne les particularités physique de l'équidé. La vérification du signalement se fait à partir de 18 mois par un vétérinaire agréé. Elle est obligatoire avant toute activité officielle.
Ensuite, les pages sanitaires mentionnent les vaccinations avec les différents vaccins effectués chaque année. Les vignettes, le cachet et la signature du vétérinaire sont obligatoires. Des pages sont réservées pour les contrôles de médication, les visas administratifs et les contrôles d'identité.
Enfin, la carte d'immatriculation a pour but de suivre le cheval dans les différentes transactions dont il sera l'objet durant sa vie. Elle contient les noms des différents propriétaires et constitue donc présomption de propriété et non pas un titre de propriété pour le dernier propriétaire qui le possède. *

3. Les grands principes de rationnement pour respecter la santé et le bien être des équidés 

Les besoins varient selon la fonction du cheval ou du poney. On distingue les besoins du cheval au repos, ceux nécessaires à la croissance, à la gestation, à la fonction de reproduction de l'étalon en période de monte et ceux inhérents au travail de l'équidé. Ils varient également selon les saisons et les races. 
Par exemple pour un cheval de 500kg au travail ses besoins sur une journée vont être 5 kilos de foin. Si le cheval a des compléments alimentaires, il faut alors répartir environ 5kg soit 11 litres sur les trois repas.  
Les unités fourragères (UF) désignent les besoins en énergie. Ce sont les valeurs énergétiques attribuées aux différents aliments. Par exemple 1 kilo d'orge équivaut à 1 UF alors qu'un kilo de foin ne vaut que 0,45 UF. 
La formule de calcul des unités fourragères permet de déterminer les besoins du cheval
  • à l'entretien = (0,5UF/100kg) + 2 UF
  • au travail = rajouter à la formule ci-dessus 1 à 2 UF supplémentaire par heure de travail moyen. 

A ces besoins en énergie, il faut ajouter les besoins en protéines : environ 70 grammes par unité fourragère distribuée. Des besoins en minéraux sont également à ajouter : 

  • calcium : 25 à 30g par jour si entretien et 30 à 40g si cheval au travail ;

phosphore : 15 à 20g par jour si entretien et 20 à 25g par jour si travail ; 

     Remarque : même si les besoins sont correctement évalués et même si vous calculez la ration de façon adaptée et juste. Il est important de ne pas négliger l'observation de votre cheval ou poney. Rien ne remplace le jugement objectif que vous donne un oeil expert sur son état général. *

    4. L'impact des transports sur la santé et le bien êtres des équidés

    Il n'est pas anodin de transporter un cheval ou un poney. Il est important de poser des protections de transport mais également de veiller au maintien de son intégrité physique c'est-à-dire de le transporter dans un véhicule adapté et aménagé.

        • Les risques de blessure ou de boiterie 

    Les risques de blessure débutent à l'embarquement et ne se termine qu'au moment ou votre monture descend du véhicule. Ces risques augmentent si votre monture voyage avec des congénères notamment s'ils lui sont inconnus et agités. La taille de l'équidé est également à prendre en compte car les stalles sont souvent inadaptées aux poneys et jeunes chevaux

        • Les troubles digestifs 

    L'équidé peut perdre l'appétit durant le transport. La difficulté de la distribution de l'eau peut engendrer une déshydratation surtout pour les longs voyages et ceux sous la chaleur. De plus, le stress lié au transport peut être la source de dégradations de l'appareil digestif (exemple : ulcère). La majorité des chevaux ne peuvent uriner tant que le véhicule roule. Il est donc important de prévoir une pause d'environ vingt minutes toutes les quatre heures pour abreuver lentement, mouiller le foin et laisser uriner.

        • Les troubles respiratoires 

    Les vans et camions sont clos et petits sans grande ventilation. Cela peut endommager les voies respiratoires du cheval. Il est donc important d'ouvrir les aérations en grand, de mettre une litière de sol en copeaux et vérifiez que le foin mis à disposition est exempt de poussières et de moisissures. Ainsi, les risques d'allergie sont limités. 

        • Les contagions

    Les maladies virales, par exemple la grippe équine ou la gourme ou les maladies cutanées, par exemple la teigne, peuvent se transmettre. Malgré que votre monture voyage seule, si le véhicule de transport n'a pas été soigneusement désinfecté le risque est toujours là. Il est important de préserver une bonne hygiène dans les lieux de transport afin d'éviter la propagation des maladies contagieuses. *

    5. Les défauts d'aplombs principaux des membres

    L'aplomb désigne l'orientation des membres sous le corps du cheval ou du poney. 
    L'observation des aplombs se fait sur un sol horizontal et régulier, dans une position où les membres sont parallèles entre eux et perpendiculaires au sol. L'aplomb est dit régulier si la direction du membre suit les lignes verticales d'aplomb, irrégulier en cas de contraire. 
    Les aplombs sont examinés de face, de profil, de derrière, en marche et à l'arrêt. 
      • De face : le fil à plomb placé à la pointe de l'épaule doit partager le membre en deux parties égales. 
    • 1 - Ouvert du devant : orientation du membre en dehors de la ligne d'aplomb entraînant une distension des ligaments, les allures sont souvent moins rapides.
    • 2 - Serré du devant : orientation du membre en dedans de la ligne d'aplomb entraînant la prédisposition aux atteintes (poitrine étroite). 
    • 3 - Genoux cambrés : les genoux sont en dehors de la ligne d'aplomb et provoque une distension des ligaments, gène la vitesse et manque de solidité. 
    • 4 - Genoux de boeuf : les genoux sont en dedans de la ligne d'aplomb les conséquences sont les mêmes que pour les genoux cambrés. 
    • 5 - Cagneux des membres : l'orientation des membres genoux et sabots vers l'intérieur de la ligne d'aplomb entraînant une usure anormale du pied et des blessures au talon (scalpe, cloche). 
    • 6 - Panard des membres : l'orientation générale des membres genoux et sabots vers l'extérieur de la ligne d'aplomb. 

    Remarque : un cheval peut avoir des aplombs corrects jusqu'au boulet et être panard ou cagneux à partir de ce niveau. 

      • De profil membre antérieur : un fil à plomb placé à la pointe de l'épaule doit tomber à 10cm en avant de la pince du sabot.  
    • 1 - Campé du devant : l'orientation générale du membre d'arrière en avant, le membre est en avant de la ligne d'aplomb provoquant la surcharge des talons, les allures sont souvent moins rapides. 
    • 2 - Sous lui de devant : l'orientation générale du membre d'avant en arrière, le membre est en arrière de la ligne d'aplomb provoquant la pince est surchargée, l'allure est raccourcie et le cheval risque de boiter et de se couronner. 
    • 3 - Genou en avant de la ligne d'aplomb : cheval arqué (de vieillesse ou de fatigue) ou cheval brassicourt (de naissance) ainsi les tendons fatiguent moins mais le cheval s'usera très vite, la pince reste toutefois surchargée, le cheval est exposer à buter. 
    • 4 - Bouleté : le boulet est en avant de la ligne d'aplomb. Le cheval est prédisposé à l'apparition de tares osseuses et est raide dans ses allures. 
    • 5 - Droit jointé, court jointé : le paturon est insuffisamment incliné vers le sol et/ ou trop court. Les allures sont saccadées, risque de formation de tares dures. 
    • 6 - Genou creux : le genou est en arrière de la ligne d'aplomb entraînant une fatigue exagérée des tendons prédisposant le cheval au claquage. 
    • 7 - Long jointé, bas jointé : le paturon est trop incliné ou étendu vers le sol. Les allures sont souples mais au détriment des tendons fragilisés (prédisposition au claquage). 
      • De profil membre postérieur : le fil à plomb placé à la pointe de la fesse doit longer la pointe du jarret et le tendon avant d'arriver au sol. 
    • 1 - Campé du derrière : le membre va d'avant en arrière, c'est-à-dire en arrière de la ligne d'aplomb de ce fait les jarrets sont souvent droits et se fatiguent prématurément, le dos est souvent creux. 
    • 2 - Sous lui du derrière : les membres sont en avant de la ligne d'aplomb des postérieurs provoquant la surcharge des des postérieurs et la fatigue des boulets, ils ont tendance à forger mais sont toutefois bon porteur.
    • 3 - Jarret coudé : la pointe du jarret est en arrière de la ligne d'aplomb, le cheval est alors sous lui du derrière à partir de son jarret, il est alors prédisposé aux tares dures du jarret, la courbe te l'éparvin. 
    • 4 - Jarret droit (trop ouvert) : sa détente est moins facile avec probabilité d'apparition d'éparvin ou d'accroche de la rotule, sur une ligne du dessus moins tendue. 
      • De derrière : la verticale placée à la pointe de la fesse doit partager le membre en deux parties égales.  
    • 1 - Ouvert de derrière : l'orientation générale du membre est en dehors de la ligne d'aplomb. Le pied est alors souvent cagneux, fatigue assez rapidement mais le membre possède une grande force d'impulsion. C'est une qualité chez le trotteur. 
    • 2 - Serré de derrière : l'orientation générale du membre est en dedans de la ligne d'aplomb, les membres sont alors très près l'un de l'autre et sont exposés aux atteintes. 
    • 3 - Jarret trop ouvert, cambré : l'articulation du jarret est à l'extérieur de la ligne d'aplomb alors les jarrets sont vacillants, l'articulation se fatigue et des risques de coupures fréquentes. 
    • 4 - Jarret crochu, clos, jarretier, panard du derrière : l'articulation du jarret est à l'intérieur de la ligne d'aplomb, l'apparence est peu esthétique. De plus, cela ralentit les allures. Le cheval est prédisposé à l'éparvin. 
    • 5 - Jarret cambré : les pointes des jarrets sont éloignées en dehors de la verticale, la tendance des canons et des pieds à être cagneux.  
      • En marche  
    • Cagneux en marche : le membre levé se rapproche du membre posé au sol, les atteintes sont alors fréquentes, le cheval se touche régulièrement. 
    • Panard en marche : le membre levé est jeté en dehors puis ramené en dedans. Le cheval billarde, chutes fréquentes, couronnement possible et présence de fatigue articulaire. 
    • Se croise : il marche sur un fil, les membres se déplacent l'un devant l'autre et se croisant entraînant un risque de chute et de blessure. 
    • Se touche : le pied levé vient heurter le membre à l'appui. Le cheval se coupe et s'entaille au boulet. 
    • Forge : la pince du fer postérieur heurte le fer antérieur entraînant un risque de déferrage et d'atteinte.  *

     

    6. Les mouvements de dressage représentatifs de l'équitation de travail 

    Les mouvements de dressage représentatifs de l'équitation de travail peuvent s'effectuer aux trois allures. Cependant, certains mouvements peuvent se faire uniquement à une allure parfois deux. 
    On retrouve : 
    • la cession à la jambe ; 
    • l'épaule en dedans ;
    • le piaffer ; 
    • le passage ; 
    • le trot allongé ; 
    • la pirouette ; 
    • changement de pied au galop. *

     

    7. Le rôle et l'effet de la bride

    La bride est un harnachement qui comporte deux embouchures et quatre rênes : un mors de filet et un mors de bride avec une gourmette. 
    L'usage de la bride est délicat car chacun des mors qui la compose joue un rôle différent, voire opposé. Il faut les utiliser simultanément le moins possible : vos doigts doivent s'habituer à la manipulation et à la reconnaissance des rênes.
    L'usage de la bride combine l'action des deux mors. Le mors du filet agit sur la commissure des lèvres et permet un contact franc. Le mors de bride agit sur les barres et la langue en basculant, les branches agissent comme des leviers, le point d'appui se situant à la gourmette.
    Attention son action peut être douloureuse sur la bouche du chevalLe cavalier doit avoir impérativement des actions de mains plus douces. La bride permet une obéissance plus rapide à travers une action discrète et précise. Le cavalier doit avoir impérativement des actions de mains plus douces.
    La bride demande une période d'adaptation pour la monture et le cavalier. *

    8. Les limites de l'intervention du cavalier en situation de tri prévues par la règlementation sportive en vigueur au niveau national 

    Les aides du cavaliers sont les moyens indispensables à la pratique équestre. On distingue les aides naturelles comme les mains, l'assiette, le poids du corps et les jambes et les aides artificielles comme la cravache, le stick, les éperons, ect. **
    Elles s'utilisent en indépendance.
    D'après l'article 1.5 du règlement des compétitions applicables au 4 septembre 2023, la mauvaise utilisation des aides dans un traitement négligeant de façon intentionnelle ou non est passibles de sanction. 
    Les sanctions s'appliquent lorsque :
    • l'utilisation excessive des éperons et/ ou de la cravache ; 
    • frapper un poney ou un équidé avec la main, le pied, le flot des rênes, une étrivière ou tout autre objet ou de toute autre manière ;
    • faire subir volontairement au poney/cheval un quelconque choc électrique ; 
    • utiliser un dispositif ou un équipement qui cause une douleur excessive au poney/cheval quand il touche la barre d'un obstacle. *

    9. Les principaux enrênements du travail en longe 

    Les enrênements sont des moyens mécaniques qui agissent sur l'attitude du poney et du cheval. Ils peuvent aider et compléter les aides du longeur, sans toutefois les remplacer. Les enrênements sont utilisés provisoirement
    Les enrênements à la longe peuvent apporter une aide appréciable dans la recherche d'une attitude pratique avec une parfaite harmonie musculaire. 
    On distingue trois enrênements principaux à la longe : les rênes fixes, le gogue et le chambon. 
    • Les rênes fixes : elles se placent entre les membres antérieurs, ou latéralement sur les côtés du surfaix. Dans le travail à la longe, l'élastique extérieur doit être plus long. Elles sont souvent utilisées en voltige pour stabiliser la tête et l'encolure. 
    • Le gogue : employé dans le travail monté ou à la longe, il peut être fixe ou commandé. Il a pour effet d'abaisser la nuque en fermant l'angle tête/encolure en fonction du réglage. 
    • Le chambon : permet d'obtenir des extensions de l'encolure et de muscler le dos. Le mouvement en avant est indispensable sous peine de voir un cheval creuser son rein et rejeter ses jarrets en arrière. Il agit principalement sur la nuque et la commissure des lèvres. Il faut éviter de l'utiliser au galop car cet enrênement à tendance à horizontaliser le cheval ou le poney. *

    10. Les différentes dénominations des produits commercialisés

    Il est important que chaque changement de compléments dans l'alimentation du cheval ou du poney se fasse avec parcimonie et si possible avec accord vétérinaire. 
    On distingue les aliments complets du commerce et les compléments alimentaires. 
    Un aliment complet est fabriqué à partir d'un mélange de matières premières comme les céréales, les différentes graines oléagineuses type colza, soja ou autres, luzerne, ect, auxquelles des vitamines et des minéraux sont ajoutés. 
    Le dosage de ces différents composants varie en fonction du service attendu Par exemple, des aliments très énergétique pour un cheval de sport et des aliments d'entretien pour un animal au repos. 
    L'aliment complet doit garantir l'apport de fibres, de glucides lents non fermentable, de matières grasses riches en Oméga 3, de protéines riches en lysibe, de minéraux, d'oligo-éléments et de vitamines. 
    Les compléments alimentaires regroupent toute forme d'apport supplémentaire à la ration de base. Ils peuvent se distribuer sous forme de liquides, de poudres ou de granulés ajoutés et mélangés à la ration. 
    Les compléments alimentaires ont pour vocation d'améliorer le confort et les soins du cheval ou du poney. Pour une alimentation en céréales, ils sont appelés CMV (Complément Minéral Vitaminé).
    Ils peuvent intervenir dans : 
    • les grandes fonctions vitales : appareils respiratoire, circulatoire, nerveux, locomoteur (muscles, tendons et squelette) digestif, reproductif, ect ; 
    • les soins : répulsifs insectes, onguent de cross, antiparasites, friandises, ect ; 
    • le travail : l'entraînement, la récupération après l'effort, ect. 

    La tendance est de s'orienter vers des produits naturels comme la phytothérapie, l'homéothérapie, ect, certifiés non dopants. *

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    11. Définition rectitude 

    La rectitude désigne un cheval droit lorsqu'il peut s'incurver et se déplacer d'un égale manière des deux côtés dans les trois allures et que les postérieurs suivent la trace des antérieurs lors d'une ligne droite, d'une courbe ou de transitions. La rectitude est une part importante de la soumission et se révèle dans l'aisance du travail de deux pistes aux deux mains.
    Par nature, chaque cheval est dissymétrique, paraissant souple d'un côté et plus raide de l'autre. Cela est souvent la cause d'un contact dissymétrique. C'est par l'utilisation des assouplissements et d'une attention particulière que cette difficulté peut être maîtrisée. *
    Source :
    * FFE : ffe.com
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